PARIS (MPE-Média) – La Banque publique d'investissement française (BPIFrance) présentait ce 10 janvier sa 76ème enquête semestrielle de conjoncture auprès des TPE-PME, basée sur les retours de 4 590 entreprises, une enquête créée voici quarante ans. La croissance zéro est envisagée en 2023 pour la France par BPIFrance. Détails.

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Cette enquête de conjoncture, réalisée auprès de près de 5 000 entreprises, permet à BPIFrance d’évaluer la situation des TPE-PME à la fin 2022 et de connaître leurs perspectives 2023, dans un contexte de crise énergétique (Source BPIFrance)

 

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Philippe Mutricy, Directeur des études, de l'évaluation et de la prospective de BPIFrance répondant aux questions des journalistes en ligne (Capture d’écran BPI/MPE-Média)

 

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Sabrina El Kasmi, chargé d’études de BPIFrance (capture d’écran BPI/MPE-Média)

 

Philippe Mutricy,

Directeur des études, de l'évaluation et de la prospective de BPIFrance, Baptiste Thornary, chief economist BPIFrance et Sabrina El Kasmi, chargé d’études de BPIFrance ont successivement brossé un tableau en pied de l’économie des entreprises, PME et TPE françaises, tableau marqué par les freins constitués par la hausse des coûts des énergies, les difficultés d’accès aux commodités et celles posées par le recrutement des salariés.

 

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(Capture d’écran BPI/MPE-Média)

 

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(Capture d’écran BPI/MPE-Média)

 

Côté investissements, le tableau est moins noir mais dénote une conscience accrue des problèmes chez les investisseurs, tandis que les trésoreries des entreprises se disent en dégradation sur le 2ème semestre 2022, mais encore dans une situation plutôt confortable selon les économistes de BPI. Les conditions d’accès au crédit se durcissent mais restent « relativement aisées » selon le chief economist de BPI, en particulier son coût posant problème aux entreprises.

 

« Pas de panique perceptible »

 

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(Capture d’écran BPI/MPE-Média)

 

Une majorité d’entreprises anticipent une dégradation de leurs activités et disent que leurs investissements devraient se tasser cette année, après une année 2022 plus résiliente. Pas de panique perceptible chez les chefs d’entreprise, mais des craintes liées aux remboursements de PGE, aux difficultés d’embauches et au durcissement des conditions de crédit.

Parmi les TPE-PME déclarant avoir souscrit à un PGE (la moitié des répondants), 57 % déclarent l’avoir consommé dans sa majorité (contre 53 % en mai 2022 et 47 % en novembre 2021), dont 38 % dans sa quasi- totalité (contre 29 % en novembre 2021). S’agissant de l’horizon de remboursement, 81 % des dirigeants interrogés envisagent d’amortir leur prêt sur plusieurs années (76 % il y a 6 mois).

 

In fine, Philippe Mutricy relève le fait que l’industrie est plus impactée que les autres secteurs par les coûts de l’énergie, ajoutant que les entreprises en difficultés restent minoritaires et le sont davantage de façon sectorielle, en particulier dans l’industrie. Une trop forte hausse de la facture énergétique pourrait entraver les projets des TPE-PME. Celles-ci sont toutefois en grande majorité dans l’incertitude quant au seuil de prix qui déclencherait de telles décisions : 63 % ne savent pas à partir de quel prix de l’électricité́ leurs projets d’investissement seraient suspendus. C’est 66 % s’agissant du seuil déclenchant une réduction de l’activité et 78 % une cessation.

 

En réponse à notre question sur les prix de production et leur niveau en termes de soutenabilité, Philippe Mutricy et Baptiste Thornary notent que le pourcentage d’entreprises en réelles difficultés varie entre 5 et 10% selon les secteurs d’activités, souvent en fonction de leur capacité à répercuter les hausses de prix : « Il ne faut pas perdre de vue d’où viennent ces hausses de prix, une fois passée la crise Covid, la reprise et ses tensions et la crise énergétique venant là-dessus. Nous connaîtrons des baisses de prix dans l’industrie », précise Philippe Mutricy.

 

Le détail de l’enquête de conjoncture de BPIFrance pour les secteurs

du commerce et de l’industrie


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Des disparités d'une région à l'autre de l'hexagone (Source BPIFrance)

 

Les TPE-PME du Commerce connaissent un ralentissement de leur activité en 2022.

Le solde d’opinion atteint +17, en baisse de 21 points sur un an mais en hausse de 8 points sur le semestre, toujours au-dessus de sa moyenne de long- terme (+13). L’activité de près de deux tiers d’entre elles serait toujours modérément ou fortement freinée par les difficultés d’approvisionnement. Les TPE-PME du Commerce de détail sont les plus pessimistes avec un solde d’opinion à −6 (−32 points sur un an et nettement sous sa moyenne de long terme de +8), le niveau le plus faible de tous les sous-secteurs étudiés et le seul en territoire négatif. Le solde relatif au Commerce-réparation automobile est également en recul sur un an (−3 pts, à +6) mais en hausse sensible sur le semestre (+18 points) et largement au-dessus sa moyenne de long terme (−6). Dans le Commerce de gros, malgré un fort ralentissement (−19 points sur un an), l’activité est restée plutôt dynamique (indicateur à +29, au-dessus de sa moyenne de longue période de +17).

 

Un léger ralentissement des embauches en 2022. Le solde d’opinion perd 3 points sur un an à +11, un niveau encore au-dessus de sa moyenne de long terme (+7). L’indicateur affiche un recul sur un an dans le Commerce de détail et le Commerce de gros (à respectivement +1 et +17, le plus bas niveau tous secteurs confondus pour le Commerce de détail). En revanche, les embauches sont allantes dans le Commerce-réparation automobile : l’indicateur gagne 6 points sur un an à +5 et reste au-dessus de sa moyenne de long-terme (−3).

 

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(Source BPIFrance)

 

La trésorerie des TPE-PME du Commerce s’est dégradée, quel que soit le sous-secteur. Le solde d’opinion relatif à la trésorerie passée est en net recul (−17 points). Pour les trois sous-secteurs, il reste toutefois au-dessus de la moyenne de longue période.

 

L’investissement ralentirait dans le Commerce. 39 % des TPE-PME déclarent avoir investi en 2022, un chiffre en hausse de 3 points sur 1 an mais qui reste inférieur à celui observé avant crise. Cependant, le solde d’opinion baisse dans tous les sous-secteurs sur un an (entre −5 et −7 points), et l’indicateur passe même sous sa moyenne de long terme dans le Commerce-réparation automobile (−10 vs −7), le plus bas niveau tous secteurs confondus.

 

Les TPE-PME du Commerce sont légèrement plus nombreuses à anticiper une baisse qu’une hausse de leur activité en 2023. Le solde d’opinion est en baisse de 23 points sur un an à −1, largement en dessous de sa moyenne de long terme (+17). Les TPE-PME du Commerce et réparation automobile sont les plus pessimistes avec un solde d’opinion qui diminue de 11 points sur un an à −11. Dans le Commerce de détail, le solde d’opinion passe en territoire négatif (−21 points sur un an à −8), sous sa moyenne de longue période (+8). Du côté du Commerce de gros, l’indicateur d’activité reste en territoire positif (+4), mais chute de 27 points et se retrouve largement en-dessous de sa moyenne de long-terme (+24).

 

Les indicateurs relatifs aux perspectives d’embauche en 2023 se replient moins nettement que ceux relatifs à l’activité. Alors que l’indicateur est en baisse dans le Commerce de détail (−6 points sur un an à +4, le plus bas niveau tous secteurs confondus) et de gros, il est stable dans le Commerce et la réparation automobile. Tous restent au-dessus de leur moyenne de LT.

 

La trésorerie se dégraderait les 6 prochains mois : le solde d’opinion relatif à la trésorerie future perd 13 points sur un an à −20 (sous sa moyenne de long terme de −5), Le recul est plus marqué dans le Commerce de détail (−19 points à −26).

 

Dans un contexte de hausse de la facture énergétique et de persistance des difficultés d'approvisionnement, la rentabilité est attendue en dégradation en 2023. Le solde d’opinion est en baisse de 16 points sur un an à −15, largement sous sa moyenne de long terme (+1). Le recul est plus net dans le Commerce de détail : −23 points sur un an à −23, bien en-dessous de sa moyenne de longue période de −4.

 

L’investissement fléchirait en 2023

42 % des TPE-PME du Commerce comptent investir, un niveau stable sur un an. Elles seraient plus nombreuses dans le Commerce et réparation automobile (47 %). Néanmoins, l’indicateur prévisionnel des dépenses d’investissement est en recul dans tous les sous- secteurs.

 

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(Source BPIFrance)

 

L’activité des TPE-PME de la Construction ralentit en 2022.

Le solde d’opinion sur l’activité́ enregistre un recul de 16 points en un an mais gagne 9 points sur le semestre à +17, un niveau largement au-dessus de sa moyenne de long terme (+8). Les entreprises du secteur sont encore particulièrement exposées aux difficultés d’approvisionnement : près des deux tiers d’entre -40 elles déclarent qu’elles affectent modérément ou fortement leur activité (contre 46 % tous secteurs confondus). Les chefs d’entreprise de la branche Travaux publics sont plus pessimistes que ceux du Bâtiment. Alors que leur solde d’opinion était identique il y a un an (+33 en moyenne), l’indicateur pour les Travaux publics s’inscrit à +10 alors que celui du Bâtiment s’élève à +19.

 

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(Source BPIFrance)

 

Les intentions d’embauche marquent le pas dans le secteur construction, mais plus particulièrement pour les TPE-PME des Travaux publics.

Sur un an, le solde d’opinion sur l’évolution des effectifs perd 3 points dans le Bâtiment à +9 et 16 points dans les Travaux publics à +7. Les entreprises du secteur de la Construction restent celles qui rencontrent le plus de difficultés de recrutement (88 % d’entre elles contre 82 % tous secteurs confondus). 54 % rencontrent des difficultés sévères, contre 44 % tous secteurs confondus.

 

La trésorerie des TPE-PME de la Construction s’est détériorée ces 6 derniers mois.

Le solde d’opinion perd 9 points sur un an à −14 mais reste au-dessus de sa moyenne de long terme (−19). Celle des Travaux publics s’est particulièrement dégradée, à −19, le niveau le plus faible de tous les sous-secteurs étudiés (avec l’Industrie agro-alimentaire) et rejoignant sa moyenne de long terme (−20).

 

Après un fort rebond il y a un an, les dépenses d’investissement faiblissent.

Le solde d’opinion sur l’évolution des montants investis perd 8 points sur un an à −6. Il reste nettement inférieur à son niveau d’avant crise dans les Travaux publics (−8 contre +19 en novembre 2019). Cependant, les TPE-PME du sous-secteur sont 65 % à avoir engagé ou prévu des investissement pour 2022, une proportion supérieure à la moyenne de l’ensemble des secteurs (47 %) mais toujours inférieure à ce que l’on observait avant crise (75 %).

 

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(Source BPIFrance)

 

Les TPE-PME de la Construction anticipent un tassement de leur activité en 2023.

L’indicateur relatif à l’évolution anticipée du chiffre d’affaires pour l’année prochaine diminue de 16 points sur un an et passe en territoire négatif à −3 (contre +6 tous secteurs confondus). L’activité resterait la moins bien orientée dans les Travaux publics (solde d’opinion à −14, le niveau le plus bas tous secteurs confondus et en-dessous de sa moyenne de longue période de −7, contre −1 dans le Bâtiment, soit sous sa moyenne de long terme de +3). Le ralentissement serait toutefois moins marqué dans les Travaux publics que dans le Bâtiment (−9 points sur un an vs −17 points).

 

L’incertitude entourant l’horizon de résorption des difficultés d’approvisionnement, qui touchent la quasi-totalité des TPE-PME du secteur, entache les prévisions d’activité pour 2023.

44 % ignorent quand elles se résorberont tandis qu’un tiers tablent sur une fin dans un an ou plus. Celles dans les Travaux publics sont en proportion les plus nombreuses à ne pas se prononcer (53 %) parmi tous les sous-secteurs.

 

Les perspectives d’embauche fléchissent pour 2023 dans ce secteur

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Le solde d’opinion sur l’évolution future des effectifs perd 13 points sur un an à +10, au-dessus de sa moyenne de long-terme +6. Les dirigeants des TPE-PME des Travaux publics sont les plus pessimistes avec un solde d’opinion de +6, juste au-dessus de sa moyenne de long terme (+5) (Source BPIFrance)

 

 

Industrie : Des TPE-PME solides en 2022

 

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(Source BPIFrance)

 

L’activité des TPE-PME industrielles a été dynamique en 2022, le solde d’opinion atteignant +36 (−10 points sur un an mais +1 point sur le semestre), un niveau nettement supérieur à sa moyenne de long terme, de +16. Du côté de l’Industrie des biens de consommation, l’activité ralentit nettement, le solde d’opinion perdant 23 points sur un an, pour atteindre +30. Il resterait tout de même bien supérieur à sa moyenne de long terme (+12). Les tensions sur les approvisionnement limiterait en effet moyennement, voire fortement, l’activité de 69 % des TPE-PME de ce sous-secteur. À l’inverse, l’activité dans l’Industrie agro-alimentaire (IAA) reste particulièrement allante. Le solde d’opinion atteint +46 (en hausse de 5 points sur un an et de 17 points sur le semestre), niveau supérieur de 20 points à sa moyenne de longue période.  

 

Les embauches se seraient maintenues en 2022.

Le solde d’opinion est stable sur un an et s’inscrit à +18, niveau supérieur à sa moyenne de long terme (+6) et son niveau d’avant crise (+16). Le solde d’opinion est le plus élevé dans les biens d’équipement à +20 (+3 points sur un an), le niveau le plus haut de tous les sous-secteurs étudiés. Il diminue en revanche dans l’Industrie des biens de consommation de 6 points sur un an, à +13, restant néanmoins supérieur à sa moyenne de longue période (+4).

 

La trésorerie des TPE-PME s’est dégradée ces six derniers mois.

Le solde d’opinion associé a en effet perdu 14 points sur un an et atteint
−12, un niveau proche de sa moyenne sur longue période (−13). La situation financière se dégrade le plus fortement pour l’agro-alimentaire, de −21 points sur un an, et atteint −19, le plus bas niveau tous secteurs confondus (avec les Travaux publics).

 

L’investissement ralentit sensiblement en 2022, après une année 2021 particulièrement dynamique.

Les TPE-PME industrielles sont 59 % à avoir investi ou prévoient de le faire d’ici la fin de l’année, une proportion en légère baisse par rapport à 2021 (61 %). En revanche, le solde d’opinion sur l’évolution des montants investis perd 16 points sur un an à +1, niveau un peu supérieur à sa moyenne de long terme (-1). Le ralentissement est plus marqué pour l’industrie des biens d’équipement. Le solde d’opinion sur l’évolution des montants investis recule de 19 points à -4, sous sa moyenne de long terme (-1).

 

Les TPE-PME industrielles sont toutefois nettement plus pessimistes pour 2023

 

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(Source BPIFrance)

 

Le solde d’opinion prévisionnel sur le chiffre d’affaires perd 32 points sur un an, à +7, un niveau bien inférieur à sa moyenne de long terme (+22). Les dirigeants de l’Industrie des biens de consommation sont les plus méfiants, avec un solde d’opinion de +3 (−36 points sur un an), nettement inférieur à son niveau de long terme (+22). À l’inverse, les TPE-PME de l’Industrie agro-alimentaire sont plus optimistes avec un solde d’opinion de +25 (toutefois inférieur à sa moyenne de longue période à +34), le niveau le plus élevé tous secteurs confondus. Les TPE- PME de l’Industrie seraient plus fortement affectées par la hausse des prix de l’énergie : pour 39 % d’entre elles, la facture énergétique représente plus de 10 % du chiffres d’affaires (contre 30 % tous secteurs confondus). De plus, 35 % ont un contrat à prix fixe se renouvelant à court terme ou indexé sur le prix de marché (contre 18 % tous secteurs confondus).

 

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(Source BPIFrance)

Les TPE-PME de l’Industrie anticipent un ralentissement du rythme des embauches en 2023. Le solde d’opinion prévisionnel sur les effectifs est en baisse de 14 points sur un an à +21, restant supérieur à sa moyenne de long terme (+14). Dans l’Industrie agro-alimentaire, le ralentissement serait plus net, avec un solde d’opinion en baisse de 19 points sur un an et qui atteint +13, rejoignant sa moyenne de longue période. Les TPE-PME seraient plus résilientes dans l’Industrie des biens d’équipement, le solde d’opinion perdant 8 points pour rejoindre +27, niveau largement supérieur à sa moyenne historique (+14) et le plus élevé de tous les sous-secteurs étudiés.

 

La trésorerie des TPE-PME industrielles devrait continuer à se détériorer en 2023 :

Le solde d’opinion relatif à la trésorerie future de chaque sous-secteur passe nettement sous sa moyenne de long-terme.

 

La rentabilité se dégraderait nettement en 2023.

Le solde d’opinion est en recul (−27 points sur un an à −9), et plus nettement dans l’industrie des Biens de consommation (−37 pts à −17).

 

L’investissement ralentirait.

60 % des TPE-PME de l’Industrie comptent investir, une proportion en hausse sur un an (57 % pour 2021) et au-dessus de la moyenne tous secteurs confondus (51 %). Le solde d’opinion prévisionnel des dépenses d’investissement est néanmoins en recul dans tous les sous-secteurs.

 

LA RÉDACTION

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NB - Condition de réalisation de l’enquête : La 76e enquête semestrielle de conjoncture de Bpifrance « Le Lab » a été réalisée par interrogation de 40 000 entreprises de 1 à 249 salariés entre le 2 et le 28 novembre 2022, par voie postale ou numérique. L’analyse s’appuie sur un échantillon de 4 590 réponses reçues avant le 28 novembre. En plus des questions récurrentes, des questions sur les difficultés d’approvisionnement, l’évolution des salaires et des prix, et les problématiques énergétiques ont été posées à l’ensemble de l’échantillon. Les réponses à l’ensemble de ces questions supplémentaires ont été redressées par taille et secteur d’activité.

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À propos de Bpifrance Le Lab - Bpifrance Le Lab est un laboratoire d’idées lancé en mars 2014 pour « faire le pont » entre le monde de la recherche et celui de l’entreprise. Le Lab est un « dérouteur » d’idées reçues pour Bpifrance et les dirigeants d’entreprise, de la start-up à l’ETI.
Bpifrance Le Lab décrypte les déterminants de la croissance et éclaire les chefs d’entreprise dans un monde de ruptures à la fois économiques, sociétales et environnementales, avec deux finalités : participer à l’amélioration des pratiques de financement et d’accompagnement de Bpifrance ; stimuler la réflexion stratégique des dirigeants et favoriser la croissance de leur entreprise. Bpifrance Le Lab s’est doté de sa propre gouvernance, avec un conseil d’orientation composé de 19 personnalités interdisciplinaires et présidé par Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance.


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Mis à jour (Mardi, 10 Janvier 2023 15:54)